Cernes de l'estuaire de la Gironde, 2016

 

Techniques mixtes sur matrice en bois (impressions numériques...).

 

Dimensions des objets : 29cm x 11cm x 3cm

Dimensions des photographies : 30cm x30cm

L'estuaire de la Gironde et ses aloses ou l'art et la manière de l'artiste Laurent Valera d'aborder l'intime de se vaste plan d'eau
Cernes d'aloses, 2016

Comment l'estuaire de la Gironde vit-t-il notre époque contemporaine ? Comment le vit-on sur ses rives et sur ses eaux ?

 

Au travers de la répétition d'une matrice de l'estuaire de la Gironde (issue d'une carte géographique), Laurent Valera développe une suite d'ondes, de "cernes", qui tentent d'incarner la grandeur, la richesse, la poésie et les faiblesses de ce vaste plan d'eau entre mer et fleuves.

Beauté des moments au plus près de l'estuaire de la Gironde : art et savoir vivre ici à proximité d'une nature superbe et sauvage : vive le carrelet !
Cernes d'un dimanche au carrelet de Marie-Pierre, 2016

Cernes d’un dimanche au carrelet de Marie-Pierre, objet et photographie, 2016

Un déroulé docu-photographique de l’intégralité de la journée au carrelet de Marie-Pierre nous ouvre sur l’intime d’un moment passé entre amis sur les rives de l’estuaire.

Marie-Pierre inspiratrice de cette oeuvre magique et intime sur l'estuaire de la Gironde
Cernes d'un dimanche au carrelet de Marie-Pierre, détail, 2016
La salinité des eaux qui augmente et remonte toujours plus loin en amont : bouleversements écologiques et drague Anita Conti
Cernes de la drague Anita Conti, 2016

Cernes de la drague Anita Conti, objet et photographie, 2016

Techniques mixtes : gros sel...

 

La drague Anita Conti entretien tout au long de l’année le chenal de navigation du port de Bordeaux. La contrepartie est une entrée plus massive des eaux salées de l’océan atlantique qui remontent toujours plus haut en amont. Il en résulte une forte perturbation de l’écosystème, une salinisation des terres agricoles et une amplification du phénomène du « bouchon vaseux ».

Port autonome de Bordeaux et art contemporain : estuaire de la Gironde par Laurent Valera
Cernes de la drague Anita Conti, détail, 2016
La chimie n'est pas en reste dans les eaux de notre estuaire de la Gironde. Plus grand estuaire d'Europe livré aux industries en tout genre. Un art d'alerte écologique !
Cernes de géllules, 2016

Cernes de gélules,  objet et photographie, 2016 :

Objet : technique mixte sur une matrice en bois, photographies,  impressions numériques sur transparent…

Dim. objet 29cm x 11cm x 3cm. Dim. photographie 30cm x 30cm.

 

Les stations d’épuration des eaux usées ne traitent pas l’intégralité de la chimie des urines... Ainsi un grand nombre de molécules médicamenteuses que nous consommons se retrouvent dans l’estuaire de la Gironde et ses affluents.

Antibiotiques me voilà dans l'estuaire de la Gironde malade. Art vient me soigner !
Cernes de gélules, détail.
Le nucléaire n'est pas en reste dans ce magnifique estuaire de la Gironde. Objet et photographie d'art de Laurent Valera
Cernes de nuclaire, 2016
L'agriculture contemporaine aussi n'est pas un art des plus écologique. L'eau, l'art par Laurent Valera
Cernes de maïs, 2016
Silure vient dans mes eaux que je m'amuse ou les dérèglements écologiques des amateurs de sensations fortes
Cernes de pêcheurs de silures, 2016
J'aime le plastique et ses emballages des supermarchés par contre pas vraiment l'eau. Vive les nanoplastiques ! Artiste engagé
Cernes de plastiques, 2016
Art et Solitaire du Figaro, beaux moments à Pauillac pour ce travail artistique de Laurent Valera
Cernes de la Solitaire du Figaro, 2016
Ma vie à Pauillac : 5 ans de plaisirs et de bien-être dans le médoc face à l'estuaire de la Gironde : magique !
Cernes de ma vie à Pauillac sur l'estuaire, 2016